Cette semaine je fais un premier projet à la brodeuse numérique du fablab de la casemate à Grenoble. Un petit porte-monnaie pour mettre le cash afin de payer la baby-sitter du lundi soir quand on a notre cours de swing !



Cette semaine je fais un premier projet à la brodeuse numérique du fablab de la casemate à Grenoble. Un petit porte-monnaie pour mettre le cash afin de payer la baby-sitter du lundi soir quand on a notre cours de swing !
Ça y est, le sac à dos est enfin terminé ! Ce projet m’a pris énormément de temps, et la prochaine fois que je me lance dans la couture, j’utiliserai un patron existant. Ceci dit, je suis vraiment content du résultat, et surtout : Alix adore son nouveau sac rouge !
La contrainte d’utiliser uniquement les matériaux issus de la tente m’a poussé à être plus créatif en trouvant des idées et des solutions ingénieuses. Au final, même si le design n’a rien de révolutionnaire, c’est le mien, et plus de 90 % des matériaux proviennent de cette tente trouvée dans la rue.
J’ai aussi beaucoup appris sur la couture : régler la vitesse de la machine en démontant la pédale, coudre de l’élastique, assembles des matériaux très différents et travailler sur la création d’un patron.
Cette semaine je vous partage mon avancement sur un projet assez conséquent : La fabrication d’un sac à dos pour enfant.
A partir d’une tente cassée, trouvée dans les rues de Grenoble, je tente de fabriquer de A à Z une sac à dos qui remplisse les critères suivant :
J’aurais peut-être du partir d’un patron existant mais j’avais quelque chose en tête, je me suis donc lancé dans un design personnalisé. Et ça me prend un temps de dingue car il est particulièrement complexe de passer d’une idée de forme en volume à un patron sur une feuille …
Pour commencer j’ai bien laver la tente car elle devait être utilisée par un itinérant et dégageait une forte odeur ! Une fois propre, j’ai découpé et décousus les différentes parties pour estimer qu’est ce qui peu servir et commencer à faire quelques assemblages en mode prototype.
Les tissus de la tente sont particulièrement difficiles à travailler car ils ne se repassent pas bien du tout, c’est une matière plastique qui demande différents d’essais sur la machine à coudre notamment trouver la bonne tension. C’est aussi la première fois que je couds de l’élastique, une vrai grosse galère.
Pour la semaine prochaine il me reste à avancer sur la partie dos du sac, je n’ai encore aucune idée de comment faire les bretelles et puis d’avancer l’assemblage final !
Souvent dans la rue on passe devant de petites pépites de street art sans forcement les remarquer, j’ai donc voulu avec ce projet mettre en avant quelques une de ces œuvres d’art.
Une sélection très personnelle et locale, mise en valeur avec à un cadre en bois pour créer un micro musée urbain.
Et pour donner la touche musée j’ai ajouté à chaque fois un cartel préparé à la découpeuse laser.
Au final, j’ai repéré 7 œuvres de street art que l’on peut localiser sur cette carte : https://tinyurl.com/mpzucc3f
On continue sur la lancée avec une Baleine, un poulpe et un mollusque. Et cette semaine j’ai eu de l’aide pour préparer et pour coller les mosaïques sur le mur avec une assistante qui voulait tout faire toute seule !
Les gens passe à quelques mètre de nous pendant que l’on monte sur un poubelle pour coller la baleine en hauteur, mais personnes nous prête attention …
Du lot de carreaux que j’ai récupéré, je n’en ai encore utilisé qu’1/3, mais c’est fini pour la mosaïque pour l’instant.
Semaine prochaine on reste dans le monde du street art, avec une sélection de petites pépites locales.
Pour tenir compagnie aux mouettes de l’autre côté de l’entrée du garage, j’ai ajouté un petit crabe, une algue et une méduse !
Il me reste encore beaucoup de carreaux de mosaïque, alors la semaine prochaine, j’ajouterai une baleine, un poulpe et un mollusque pour compléter le tableau.
Cette fois-ci, je n’ai même pas attendu la tombée de la nuit ; finalement, les passants ne prêtent pas attention ou n’en ont tout simplement rien à faire…
Avec les tags en arrière-plan, les formes des mosaïques ressortent moins bien que prévu, et la composition ne me satisfait pas entièrement. Mais bon, « better done than perfect», surtout que ce n’est qu’un projet parmi les 52 prévus.
Une bague en laiton fabriqué à partir d’un unique fils travaillé et brasé pour former la petite boule.
La difficulté principale a été de mesurer correctement pour arriver au diamètre désiré.
Cette bague est un cadeau de Noël bien en retard … et si elle ne plait pas trop, j’ai déjà d’autres idées de design !
Un cadeau de Noël pour une amie précieuse, avec un tout petit peu de retard !
La bijouterie demande toujours pas mal de matériel, entre les mesures, la découpe, la brasure, le limage, l’émerisage, le polissage etc. Mais je commence à être bien équipé.